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Premierecinq
10 septembre 2007

Contrôle !

En rangeant dans mes affaires de cours ( Si si ! ) et ben j'ai trouvé un bon p'tit souvenir des 3 mois passés avec Grumeleau ( la remplacante de Margueux )

Il est signé Peter !!!

Contexte : Le narrateur, Sainclair et un autre gars, Joseph Rouletabille partent en train de chez Mme Darzac. Leur destination, une ville ( je sais plus son nom :s ). Exercice, raconter la suite !

Il s'est passé vingt minutes depuis que j'ai donné la lettre à Rouletabille. Celui-ci se décide enfin à l'ouvrir et à la lire, après avoir soigneusement vérifié que personne ne se trouvait dans le couloir, à proximité du compartiment.

"Alors, que raconte cette chère Mme Darzac, questionnai-je, se porte t'elle bien ?

- Hum, rien d'interéssant, ou du moins rien qui puisse vous concerner, répondit-il, le teint rouge.

- Puis-je la lire, demandai-je poliment.

- Mais bien sûr que non, moncher Sainclair, répondit-il impassiblement, la curiosité a toujours été votre point faibl. A petite dose, cela est une qualité, mais comme vous, cela est un vilain défaut !"

Je continuais de l'interroger. Sans aucune réponse.

Que voulais t'il me cacher? Etait-ce t'il si important ?

Au fur et à mesure que le temps passait, Rouletabille ne cessait de regarder sa montre et les trois énormes valises posées sur le porte-bagage.

Qu'attendait-il si impatiemment ? me demandais-je sans cesse.

Soudain, le train ralentit, puis s'arrêta.

Joseph était devenu d'un blanc livide.

"Il y a quelque chose qui ne va pas ? lui demandais-je."

Au même moment, trois hommes encagoulés entrèrent violemment dans le compartiment, couteau à la main. Les lames étaient longues d'au moins trente centimètres.

Avant que j'eu le temps de faire quelque chose, ils avaient déjà agis !

Je sortis mon révolver de ma poche, et agit le plus rapidement possible.

Quatre balles furent tirées.

La première atteignit un homme en pleine poitrine.

La seconde brisa la glace de la porte.

Et les deux dernières transpercèrent la tête des deux derniers assassins en passant par les yeux.

Une quantité énorme de sang était par terre, et un corps jonchait sous la banquette.

Rouletabille était mort. Son corps était lacéré de coups qui s'enfonçaient d'au moins dix centimètres dans la peau. Son ventre était ouvert et ses boyaux pendaient au dessus de la banquette.

Je vomis le contenu de mon déjeuner par terre, lorsque le train fit une violente embardée dans un virage. Les trois valises tombèrent et s'ouvrirent dsous le choc.

Et à ma grande stupéfaction elles contenaient........................................des kilogrammes de cocaïne.

Rouletabille était un dealer !!!!!!!!!!!!

Et l'appréciation :

Cela ne correspond pas aux critères du récit policier. La date du roman étant 1968, vous "modernisez" avec le temps du récit !

==> Vladimir Pourfairelavaisselle <==

( En casse-dédi à Peter à Landul !! )

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Commentaires
T
Elle ete enorme,moi j'avais eu 18 je crois :)
S
Rah mais OUI !!<br /> troo bon
M
Avec Margueux on pouvait à peine aller au CDI alors à Venise ...
P
Sympa am rédac :)<br /> Que c'est original !!!<br /> Mais à mon gout je préfére celle ou julien sorel est nécrophile et que sa femme a eu un accident de charette :)<br /> enfin c'était margeux !!!<br /> Avec elle on aurait pas pu aller a venise ^^
Premierecinq
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